Vivre dans la rue ne comporte que très peu d’avantages comparativement aux inconvénients qui se font très nombreux. En plus de souffrir du froid et des intempéries de dame nature, souvent même de la faim et de détresse psychologique, les sans-abris doivent composer avec la solitude.
L’histoire véridique et touchante de cet homme vénézuélien qui vit dans la rue a rapidement fait le tour du Web. Une femme, Lira Quicaño, qui passait par l’Avenida Samuel Alcázar, a vu qu’un sans-abri prenait soin d’un chien handicapé, le nourrissait et s’en occupait.